Le jeu a clairement changé.
2024 et 2025 ont secoué la délivrabilité… et tout le cold emailing avec.
Google, Yahoo, puis Microsoft ont durci leurs règles antispam : le cold emailing n’a jamais été aussi technique.
Dans cette vidéo, tu vas découvrir :
La délivrabilité, c’est le pourcentage d’emails envoyés qui atteignent réellement leur destination.
Autrement dit : combien d’emails arrivent dans la boîte de réception sur l’ensemble de ceux que tu envoies ?
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, il n’existe pas simplement :
Entre les deux, il y a un troisième cas :

Ce seul chiffre montre l’importance critique du sujet.
Parce que si tes emails :
… alors ta stratégie de prospection ne peut pas fonctionner.
Le cold email, c'est un jeu où seuls les messages visibles peuvent convertir.
Depuis 2024, Google, Yahoo et Microsoft ont renforcé leurs filtres antispam.
Les ESP (email service providers) ne dévoilent jamais leurs règles exactes :
➡️ ce sont des systèmes privés, opaques, constamment mis à jour.
Les spécialistes doivent donc rétro-ingénier les règles à partir de ce qui se passe sur le terrain.

Résultat :
Les anciennes méthodes « simples » pré-2024 ne fonctionnent plus.
Aujourd’hui, le cold email demande plus de rigueur et plus de maîtrise technique.
Chaque domaine utilisé pour envoyer des emails possède une réputation.
Et cette réputation évolue :
👉 Un détail de quelques points sur tes metrics peut faire basculer ton domaine d’un côté ou de l’autre.
C’est pour ça qu’il est crucial de respecter un playbook cohérent dès le départ.

Avant toute campagne de cold email, tu dois :
Pourquoi ?
Parce que les spammeurs :
Ton objectif : avoir un comportement crédible et humain.

✔️ Tu peux techniquement envoyer après 2 semaines, mais tu prends un risque inutile.
Ne grille jamais cette étape.
❌ Arrêter le warmup une fois les campagnes lancées
👉 Beaucoup le font… et détruisent leur délivrabilité en quelques jours.
Le warmup doit rester actif en permanence.

Par exemple :
Ces outils simulent des échanges entre de « vrais » utilisateurs pour :
Utilise un checker comme Mailmeteor – Spam Checker (gratuit).
Il te montre les mots à bannir.
En 2025, même quelques mots “dangereux” peuvent suffire à tout plomber.
C’est :
Une phrase simple suffit :
« Si tu préfères que je ne te recontace plus, dis-le moi et je te retire. »
Plus tu tires à côté de la plaque, plus tu génères :
🔴 Le pire signal pour les filtres est un clic humain sur “Signaler comme spam”.
Objectif : rester sous les 0,3 % de spam reports.
En 2025, c’est un signal antispam.
Les pixels de tracking ajoutés dans les emails rendent ton message suspect.

Tu peux les garder uniquement pour tes tests A/B initiaux.

Les bases, indispensables :
Tu dois les configurer pour chaque domaine une fois pour toutes.
Les extensions les plus fiables :
Évite absolument les domaines exotiques (.xyz, .club, .store…).
Ils sont ultra-surveillés.
Recommandations : 3 lignes maximum.
Exemple :
Antoine Thoreau
Co-fondateur – Sendō
antoine@sendo.com
Pas d’image, pas de lien → meilleures chances d’atterrir en boîte principale.
(NB : dans certains cas, une photo peut augmenter la confiance, mais baisse la délivrabilité.)

Les filtres détectent :
Tu dois introduire :
Une campagne identique envoyée des mois de suite finit toujours par être détectée.
Renouvelle :

✔️ Bon pour vérifier :
⚠️ Mais trop optimiste :
Tu peux avoir 10/10… et une délivrabilité catastrophique.
Le meilleur outil pour une vision réaliste.
Il te donne pour chaque fournisseur :
Exemple dans Lemlist :
Des outils qui te fournissent :
Un énorme gain de temps si tu gères plusieurs clients.
La délivrabilité peut sembler complexe…
Mais en réalité, si tu suis rigoureusement les règles, c’est très prévisible.
Il te suffit de cocher les bonnes cases :
Et tu seras dans le cercle vertueux qui protège ton domaine et maximise tes résultats en cold emailing..